Une grande claque que cette (courte) saison de Breaking Bad, et une belle découverte. Dans cette série, on retrouve Walter White, chimiste émérite cinquantenaire n’ayant au final pas eu la reconnaissance qu’il méritait et qui se retrouve à enseigner la chimie à des ados n’en ayant rien à cirer dans une école du coin. Un fils handicapé, une femme qui ne travaille pas et qui attend leur deuxième enfant, Walter est obligé de bosser à côté en plus, et ce dans un lavage de voitures. Une vie tristounette, monotone, où la passion n’a plus sa place. Un jour, on diagnostique à Walter un cancer du poumon ; grave ; pas opérable. Se sachant condamné, il décide de laisser l’assise financière la plus confortable possible à sa famille. Et comme il n’a plus rien à perdre, il saisit au vol la phrase de son beau-frère qui bosse à la DEA : le deal de méthamphétamine, ça rapporte un max. Walter s’arrange alors pour rentrer en contact avec Jesse, un ancien étudiant devenu dealer, et instaure un marché entre eux. Il va préparer la meth et Jesse va la vendre. Avec ses talents de chimiste, Walter est bien entendu capable de produire la meilleure dope du coin…
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Shrek 4
J’ai pu profiter de ces vacances pour visionner Shrek 4. Au tirage, ma femme avait gagné et était allée au ciné avec notre fils (depuis qu’il y a la petite, c’est plus compliqué d’aller à 3 au ciné). Donc avec l’arrivée du blue-ray à la maison, j’ai pu enfiler la galette et le regarder.
Donc Shrek c’est le genre de concept qui me plaît beaucoup à la base. On prend un gros ogre vert moche et méchant et asocial, on le met dans un univers reprenant tous les contes de fée que l’on revisite et on secoue dans un shaker d’humour. Le premier était une très grande réussite et avait marqué son époque. La suite, ben voilà, c’est des suites. Difficile de se sortir des bases posées et de se renouveler (tout le monde n’est pas Pixar qui a montré les possibilités d’évolution avec son bijou de Toy Story 3). En relisant mon billet sur Shrek 3, je trouve que j’ai été bien gentil à l’époque ; parce que franchement c’était pas si terrible. Sympa, mais sans plus. Ben celui-ci est dans la même veine. C’est sympa, c’est du Shrek. Mais en même temps, il n’y a plus la nouveauté. Alors quand on a une intrigue bien peu épaisse et que les gags sont toujours un peu les mêmes, ben voilà, on ne s’envole pas très loin. Pas que ce soit mauvais, c’est juste pas exceptionnel. Faut dire que le spectateur a de quoi devenir exigeant sur les films d’animation.
Avatar, le dernier maître de l’air
Ces vacances de fin d’année ont été pour nous l’occasion de terminer le visionnement de la série animée Avatar, le dernier maître de l’air. Rien à voir avec le film tout bleu de Cameron, mais alors rien de chez rien. D’ailleurs cette série existait avant les annonces du film. Mais revenons à nos moutons (-koalas).
Avatar est une série de chez Nickelodeon, les p’tits gars à qui l’on doit entre autres les Razmoquette, la Famille Delajungle ou encore Bob l’Eponge ; pas mal de réussites à leur actif donc, à chaque fois dans un style. Et ici c’est vraiment une très grande réussite. Avatar est une série animée, occidentale donc, mais fortement empreinte de trucs orientaux, que ce soit dans le design, dans la qualité des animations, dans les peuples et philosophies présentés, dans les combats, etc. En 3 livres (3 saisons en fait) composés d’une bonne vingtaine de chapitres (épisodes) chacun, Avatar raconte les aventures de Aang et de ses compagnons pour sauver le monde.
Angry Birds Peace Treaty
Je voua l’avais dit il y a peu, je suis complètement addict à Angry Birds, un jeu sur mon iPhone de grande qualité et bien sympathique. Visiblement, le succès du jeu est assez énorme puisqu’une bande d’énergumènes en a fait une vidéo hilarante de traité de paix, reprenant un moment historique et parodiant (semble-t-il) un show TV israélien.
Visionnement réservé à un public averti de connaisseurs du jeu…