Je l’avais dit avec Wastburg et Sovok, j’aime bien ce qu’écrit Cédric Ferrand. Et ce sans fayotage aucun. Exit cette fois le med-fan et l’anticipation, et place à ce que j’appellerais du polar à la sauce urban fantasy ; dans les années 30. On va suivre les aventures de Sachem Blight ; ce type a pour boulot de traverser le monde afin de ramener au bercail des fils et filles de bonnes familles que l’appel de l’aventure, combiné au développement des moyens de transports, a emmené dans des mésaventures exotiques. Blight est un aventurier, du genre qui roule sa bosse aux quatre coins de la planète en n’hésitant pas trop à se salir les mains pour réussir ses missions. Ici une nouvelle mission va l’entraîner dans un lieu autrement plus dangereux que les divers déserts, jungles et autres ruines antiques qu’il a pu visiter : Montréal en pleine expansion, avec ses conflits de langues, de religions et de classes. Et par là-dessus il va se découvrir une jeune demi-sœur au caractère bien trempé qu’il va devoir se coltiner. L’intrigue va emmener nos deux protagonistes au sein d’une machination de grande ampleur incluant quelques éléments révolutionnaires et mystiques. Continuer la lecture de Et si le diable le permet
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Train to Busan
Alors là je dis « waouw »! Les films d’infectés/zombies, on en a soupé, à toutes les sauces, du très bon au franchement moins que bof. Ce « Dernier train pour Busan », film coréen de 2016, redonne des galons à un genre qui commençait à avoir saturé et atteint ses limites.
Lady Mechanika
C’est en me baladant dans les rayons bandes dessinées que je suis tombé sur une couverture qui a attiré mon regard. Une petite manipulation/feuilletage plus tard, je passais à la caisse avec le premier tome de Lady Mechanika, un comics steampunk prévu en 6 tomes créé par Joe Benitez ; 3 sont pour l’instant sortis en français et j’attends la suite avec impatience.
Alien : Covenant
A la sortie de ce Alien : Covenant, je dois dire que je suis assez partagé. Comme après Prometheus, « haters gotta hate » et les critiques se sont déchaînés. Méchamment, brutalement. Il faut dire qu’il y a énormément d’attentes reposant sur les épaules de Ridley Scott, surtout quand on se réfère au mythe qu’est la saga Alien. Suite de Prometheus donc, mais aussi chaînon supplémenatire pour créer le lien avec le 1er film, Covenant se toruve le cul entre deux chaises. On a d’une part cette volonté de refaire un alliage SF-horeur qui a fait le succès du 1er Alien (toujours inégalé), mais aussi le côté mystico-philosophico-métaphysique entamé dans Prometheus et poussé davantage. Et moi je dis qu’il faut choisir, Monsieur Scott.