L’univers de Chasseurs de Trolls est sorti de l’imagination débridée de Guillermo del Toro (Blade 2, Hellboy 1 et 2, Le Labyrinthe de Pan, Pacific Rim, Crimson Peak, The Strain,…), et c’est un peu le truc qui m’a fait tilt, je dois dire ; ce type a le chic pour me faire briller les yeux devant ses créations. Envisagée comme une série en prises de vue réelles, mais du coup trop chère à produire, puis passée en livre (hop sur la wishlist) avant de débarquer en série animée chez Dreamworks, Trollhunters nous propose 26 épisodes d’une vingtaine de minutes. On y découvre que notre monde vit en parallèle de celui des trolls, créatures rocailleuses parmi lesquelles deux clans s’affrontent (les gentils et les méchants trolls en gros). Continuer la lecture de Chasseurs de trolls – saison 01
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Santa et cie.
Une comédie française en film de Noël… à part Le Père Noël est une ordure, je n’ai jamais été très tenté. Oui mais là c’est du Chabat. Oui, l’ex-Nul avec donc à son actif des films comme La Cité de la Peur ou Astérix et Obelix Mission Cléopâtre. Alors bon, dans ces conditions, difficile de passer à côté.
Ici on a donc notre cher Santa Claus qui fait bosser ses 92’000 lutins pour avoir des cadeaux pour tous les enfants dans les temps, tandis que lui vit pèpère avec sa jolie Wanda. Oui mais voilà, les lutins tombent malades et ne peuvent plus bosser, et Santa Claus doit donc se rendre chez les gens normaux pour trouver le médicament qui sauvera les lutins. Il va se retrouver confronté à un monde qu’il ne connaît pas vraiment ; non la prison c’est pas comme dans le Monopoly, non tout le monde ne passe pas son temps à offrir des trucs (il faut même acheter, et donc comprendre le concept), non les enfants ne font pas que dormir et être mignons, etc. Le décalage est très fort entre ce que pense Santa et ce que s’avère être la vraie vie à Paris. Avec l’aide d’une jolie petite famille, il va malgré tout chercher à s’en sortir là au milieu. Continuer la lecture de Santa et cie.
Tous en scène! (Sing)
Petit film d’animation que j’ai regardé tranquillou avec ma fille l’autre jour, Sing se lance dans la lignée du succès des émissions où on découvre le nouveau talent chanteur de demain. Il se déroule dans un univers d’animaux anthropomorphes et le héros en est un koala directeur de théâtre proche de la ruine. Pour sauver son gagne-pain, il va organiser un concours de chant ouvert à tout le monde. Entre les auditions, le spectacle, les manœuvres de ceux qui en veulent à la troupe, et les petits coups fourrés du koala pour arriver à son but, on obtient un film sympathique, plein de bons sentiments, avec pas mal d’humour et surtout bardé de chansons évidemment (dont quelques unes connues qui sont des reprises d’artistes réels). Continuer la lecture de Tous en scène! (Sing)
Star Wars 8 – Les derniers Jedi (en 4Dx)
Voilà, je suis allé voir ce Star Wars nouveau, évidemment. Alors bon, je suis un peu fanboy sur les bords, plutôt bon public, et Star Wars c’est une de mes madeleines de Proust. Franchement tu me mets devant un écran avec des sabres-lasers et des X-Wing, et je suis content ; tu fais retentir les premières notes du thème après le petit silence et je suis content aussi ; j’ai pas besoin de grand chose quoi. Mais honnêtement le film était bien. Bon, comme toujours il y aura des mécontents, et « haters gonna hate ». Et j’admets qu’il y a des éléments sur lesquels on peut un peu tacler le film. Mais ne boudons pas notre plaisir. C’est un très bon film de grand spectacle avec ses moments épiques comme il faut, qui rend vraiment hommage aux origines de Star Wars tout en amenant sa touche, bien plus proche dans l’esprit de la trilogie originale que de la prélogie, et ça c’est bien aussi. J’ai donc passé un excellent moment dans mon siège (avec l’expérience particulière de la 4Dx sur laquelle je reviendrai plus loin dans le billet). Continuer la lecture de Star Wars 8 – Les derniers Jedi (en 4Dx)