Basée sur un bouquin d’il y a 60 ans, cette série combine de bien belle manière un drame familial où chaque personnage a ses problèmes, avec une histoire de maison hantée. Les dix épisodes naviguent entre différentes époques pour nous conter une histoire complexe et poignante. J’ai dévoré tout cela.
Hugh et Olivia Crain achètent des vielles demeures, les retapent en y vivant quelques temps, puis les revendent avec une marge non-négligeable. Lorsqu’ils s’installent à Hill House pour un été avec leurs cinq enfants, ils ne se doutent pas que l’endroit est hanté par des fantômes aux motivations complexes, et que la maison en elle-même a quelque chose en tête. Tout cela va mettre en évidence ou créer des peurs, craintes, dérangements chez chacun de ces personnages. Et on les retrouvera 26 ans plus tard, alors que les événements de Hill House marquent toujours leurs vies respectives. Continuer la lecture de The Haunting of Hill House→
La mode est aux remakes. Et La Momie en fait partie. La Momie, qui a vécu pas mal d’incarnations au cinéma, mais ici la référence est clairement au très sympathique film de 1999 par Stephen Sommers et sa suite de 2001 (de purs moments de délire pulp que j’avais bien kiffés). Transposé à l’époque moderne. On y trouve un soldat rebelle et voleur, grande gueule, du genre bad boy, qui découvre avec une archéologue une tombe égyptienne en Irak. Très vite, la personne embaumée là-dedans va sortir, revenir gentiment à la vie, et utiliser ses pouvoirs pour tenter de dominer le monde avec grand cataclysme à la clé, que seuls nos deux héros peuvent se révéler capable d’empêcher. Tout cela avec l’aide d’une société secrète luttant contre les forces occultes et menée par un certain Dr Jekyll ; oui, Universal souhaite ici mettre en place un « Dark Universe » de films dans le même univers regroupant les monstres célèbres comme Dracula, l’homme invisible, le monstre de Frankenstein, le loup-garou et d’autres. Continuer la lecture de La Momie (2017)→
Ça fait un petit moment que l’on lit avec ma fille des bouquins de la très sympathique série Chair de Poule (je vous les conseille pour vos gnomes d’ailleurs). Il fallait donc à un moment ou à un autre que l’on se penche sur le film. C’est chose faite, et bien faite puisque ce visionnement a été très agréable.
On suit ici les pas d’un ado qui débarque avec sa mère dans une petite ville. Evidemment il n’est pas heureux de ce changement, et évidemment il peine à se faire bien voir à l’école. Heureusement qu’il y a la gentille voisine avec qui il sympathise ; bon, elle ne sort quasi pas de chez elle, retenue par un père ultra-protecteur et un peu bizarre, il faut l’admettre. En s’introduisant chez eux, notre héros va découvrir un secret assez dingue tout en provoquant une grosse catastrophe qu’il s’agira de régler. Continuer la lecture de Chair de poule→
Comme souvent avec les jeux vidéo, je ne suis pas en avance. Devenu « geek de salon » et prenant souvent le temps de trouver les jeux en seconde main, je suis rarement dans les premiers à pouvoir parler des nouveautés. Ici on parle donc du 3ème opus de la série The Witcher, sorti en 2015 (3 ans, une éternité en jeux vidéo). Pour rappel, The Witcher c’est d’abord une série de bouquins du polonais Andrzej Sapkowski (j’ai lu le 1er et en suis ressorti peu convaincu, du coup je ne suis pas allé plus loin). J’avais tâté du 1er jeu à l’époque sur mon PC en 2007, mais sans aller très loin par manque de temps. Ce 3eme opus ayant été encensé, et comme je l’ai trouvé à vil prix, j’ai fini par me lancer dedans. Et après un début un peu laborieux, je me suis retrouvé pris dans une de mes très grosses et marquantes expériences vidéoludiques. Continuer la lecture de The Witcher 3 : Wild Hunt→