Dragons

Pour fêter l’achat de notre cadeau de Noël qu’on s’est fait à nous, on a décidé de prendre un film en blue-ray pour voir ce que ça donne. Et on a pris un film familial, à savoir Dragons, le film d’animation de Dreamworks de l’année. Le titre in english est un peu plus explicite : How to Train Your Dragon. La bande-annonce ne laissant guère de place à l’imagination quand à l’intrigue de base, je ne vais pas spoiler grand chose… Dans le village viking de Berk, les gens sont des gros bourrins plus larges d’épaules que haut qui sont vraiment des clichés de viking, et surtout qui se foutent sur la gueule avec les dragons du voisinage qui viennent régulièrement voler quelques moutons. Sauf Harold, fils du chef Stoïk (oui, y’en a plusieurs qui ont des noms sympas comme ça) ; Harold donc, qui est un petit gringalet pas foutu de réussir à se battre, risée du village et désespoir de sa famille. Lorsqu’il rencontre un dragon blessé, Harold ne le tue pas. Entre les deux êtres va se nouer une amitié solide qui se conclura par Harold montant la bestiole et effectuant avec lui des escapades aériennes de haute voltige. Mais les vikings, eux, chassent toujours les dragons. Et celui de Harold ne fait pas exception à la règle. Quand les vikings découvrent l’emplacement du nid des dragons et se mettent en tête de l’anéantir pour se débarrasser de cette menace, tout va changer…

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Sale coup pour la justice

Bon ben voilà, ça y est, l’UDC a encore gagné… Seul contre tous… Toujours en inventant de nouveaux problèmes et en proposant de fausses solutions qui ne vont pas résoudre les choses, le tout sur fond d’argumentaire au ras des pâquerettes et de provoc parfaitement assumée. Si vous avez un tout petit peu suivi mon blog ces derniers temps, vous devez avoir compte que je suis totalement contre ce renvoi automatique des criminels étrangers… Aujourd’hui la Justice a souffert en Suisse. En fait elle est au tapis et a joliment morflé, pas sûr qu’elle s’en relèvera tranquillement. Je sais pas pour vous, mais de mon point de vue la Justice n’est juste que si elle traite tout le monde sur un pied d’égalité. Maintenant en Suisse, pour un même délit dans le même contexte, vous ne serez pas traités de manière identique selon que vous soyez citoyen avec passeport à croix blanche ou pas. Vous n’êtes pas d’ici? Et bien souffrez davantage! Waow, belle mentalité!

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Metropop 2010

Et voilà, j’ai laissé passer quelques jours, histoire de digérer la vague sonore qui m’a tout retourné avec ce concert énorme de fin de Metropop. Que c’était bon! Ben ouais, le Metropop… Un « petit » festival au cœur de Lausanne (la superbe salle Métropole, toujours aussi sympa) qui fêtait cette année son dixième anniversaire. Ca me rajeunit pas tout ça, vu que j’y avais bossé pendant les 4 premières éditions ; puis la vie et ses aléas ne m’en ont plus guère laissé le temps. Mais globalement c’est toujours la même bande de potes qui gère le truc, de ceux qui étaient venus me voir à l’époque en me demandant si ça me disait de bosser sur un festival avec tout plein de groupes trop cools ; comment résister? Bref, après plusieurs années où on n’avait pas réussi à s’organiser pour y aller, on y a fait un passage cette année. Quel bonheur! Au programme, deux très bonnes révélations et une confirmation particulièrement sonore. Petit retour sur cette très bonne soirée musicale… Et retrouvez les photos sur le site du festival

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The Curious Case of Benjamin Button

Etrange film que ce Benjamin Button… Prenant, émouvant, avec sa dose de fantastique inexpliqué… David Fincher a réalisé là un film à part, situé entre la fresque d’une période historique et la love story impossible et destinée à mal se terminer. Alors c’est certain, Fincher n’a pas l’habitude des films trop faciles (The Game, Fight Club, Seven, par exemple) mais là on sort carrément des registres. On n’est pas devant un film avec une action bien établie et les habituels gentils et méchants de l’histoire. Ici on est face à un homme, et à sa découverte du monde.

Benjamin Button est né vieux en 1918. Nouveau-né, il a les maladies et les caractéristiques d’un homme de 85 ans.  Abandonné par son père (veuf), Benjamin est repris sous l’aile d’une aide soignante s’occupant de personnes âgées dans un home. Et sa vie va défiler, il va découvrir le monde alors que son corps rajeunit. Le film suit sa vie mouvementée jusqu’à sa mort, bien des années plus tard, sous la forme d’un nourrisson. Jamais, pas une seule fois, ne sera expliqué le pourquoi de cette part de fantastique, cet aspect irréel du corps né vieux qui rajeunit. Et ce mystère participe grandement au charme du film d’ailleurs…

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mon blog avec mes photos, mes jeux, mes créations et tout…