Ces derniers temps, ma femme me demande souvent si je veux tuer un peu des zombies… Eh oui… En fait, elle aime bien regarder quand je joue à Dead Island, un peu comme avec Resident Evil (ici et là) il y a quelques temps. Dead Island donc, c’est un jeu que l’on m’a prêté sur xBox et qui est franchement sympathique. Le principe c’est une île paradisiaque, Banoï, avec son hôtel luxueux, ses bungalows, ses plages, ses piscines, ses charmantes hôtesses et vacancières, ses bronzé(e)s, ses sauveteurs, sa jungle, sa petite ville typique, etc. Et là on se réveille tout-à-coup en découvrant que l’essentiel de la population (indigènes et vacanciers) a été transformé en zombies décérébrés assoiffés de chair fraîche. L’un des quatre rôles que l’on peut emprunter au départ est celui de l’une des seules quatre personnes immunisées à la maladie qui transforme les gens en zombies, et on part donc se promener tout seul. Pas pour une balade de santé, parce que être immunisé à la maladie ne veut pas dire qu’ils ne peuvent pas nous tuer. Et quand on démarre à mains nues, en improvisant des armes avec les quelques trucs que l’on trouve, ben c’est pas drôle. D’autant que l’ambiance dans l’hôtel plus ou moins privé d’électricité est tout de suite bien flippante. Continuer la lecture de Dead Island
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Sobek
Moi j’aime bien quand je suis en convention et que je reçois un message de ma femme me signalant que mon fils et elle ont fait l’acquisition d’un nouveau jeu ; quand en plus ce jeu est dans ma wishlist, alors ça c’est franchement la classe ; pis qu’ils l’ont acheté sans savoir que c’était dans ma wishlist mais que c’est aux noms de GameWorks et de Bruno Cathala sur la boîte qu’ils ont réagi, cela prouve leur grande sagesse. Voilà donc comment Sobek (prononcer avec le « o » long comme nous le montre la vidéo de la tric Trac TV) a atterri à la maison pour notre plus grand plaisir. Sobek se veut donc un petit jeu à pas trop cher, plutôt accessible, genre familial, mais familial « plus, avec les coups de pute dedans » si cher à M. Cathala. Ben ouais, Sobek n’est pas un jeu où on se fait des amis ; normal, on joue le rôle de marchands qui ne cherchent qu’à augmenter leurs profits, et le capitalisme nous a bien montré que ceci se fait au détriment des concurrents. Bref, nous voici sur les rives du Nil durant l’Egypte antique pendant la construction du temple dédié à Sobek (pas le jeu, le dieu, mais d’où le nom du jeu). Evidemment, la construction du temple, c’est plein de monde qui passe, des marchandises qui s’échangent, et des marchands qui vont tenter d’en tirer un maximum de profit. C’est là que l’on intervient. Continuer la lecture de Sobek
The Avengers
BAAAMM!!! Ah ouais voilà, ça y est, je viens de prendre une très grosse baffe. Mais quel bonheur! pas loin du geekasm là! Ben ouais j’ai été voir le très attendu The Avengers au cinéma et c’est assez une tuerie, il faut le dire. Les Avengers, c’est une équipe composée de divers super-héros regroupés. Bien qu’ayant lu pas mal de comics de leurs aventures séparées, je ne crois pas avoir lu directement les aventures du groupe. Donc vous ne trouverez pas ici de comparaison, ni de remarques sur la période Avengers à laquelle on fait référence, etc. Je ne vais traiter que le film et vous dire tout le bien que j’en pense. Avant d’aller plus loin, rappelons qu’il s’agit d’un film de super-héros, avec plusieurs héros, et qu’on est donc dans le pas réaliste, dans le truc énorme, dans le truc qui ne se veut pas psychologiquement trop subtil et dans la débauche d’effets spéciaux. Amateurs purs de drames psychologiques pointus, passez votre chemin. Pour les autres, The Avengers est un putain de bon blockbuster. On reprend donc nos héros des films précédents, à savoir Iron man, Hulk, Thor, Captain America, La veuve Noire ou Hawkeye (ces deux derniers ayant fait de plus ou moins longues apparitions mais sans avoir de films à eux) ; et on les regroupe pour faire face à une terrible menace qui met en péril la survie de l’espèce humaine toute entière. Ben ouais, on reprend les héros des films précédents qui, avec tous leurs avantages et leurs quelques défauts, font finalement un peu légers et constituent en fait de belles introductions pour le véritable monument des Avengers. Oui, 5 films pour en introduire un autre. Est-il possible de voir les Avengers sans avoir visionné les autres? Bien sûr, mais on y perdra beaucoup. Continuer la lecture de The Avengers
Rayman Origins
Avec ma découverte de la xBox, je me suis lancé dans quelques jeux. Et dans le tas on a ce Rayman Origins auquel mon fils et moi sommes assez addicts (que ce soit en solo ou à deux). Rayman, je le connaissais depuis longtemps, c’est quand même l’un des personnages les plus emblématiques du jeu vidéo. Mais je ne l’avais vraiment pratiqué qu’avec les Lapins Crétins. Du coup, c’est un peu la découverte de ce qu’est Rayman à la base : du jeu de plateformes. Pas de comparaison donc avec les épisodes originaux, mais juste un avis. Et franchement c’est l’éclate!
Dans Rayman Origines, on se retrouve à commander le sympathique personnage sans bras ni jambes dans un jeu de plateformes en 2D de profil. Il s’agit de récupérer un maximum d’électoons (petits bonzhommes roses ou jaunes), de libérer des nymphes enfermées dans des coffrapattes rapides, de baffer les méchants… et surtout de s’amuser. Très progressif, le jeu commence simplement dans des décors magnifiques avec des petits sauts et des ennemis que l’on peut éviter… ou leur sauter dessus. Au fur et à mesure, notre personnage va gagner de nouveaux pouvoirs (flotter, baffer, nager, rapetisser, etc) pour lui permettre d’explorer de nouveaux niveaux. De plus en plus difficiles, complexes, pointus, ces différents niveaux vont pousser à la précision, à la concentration. Le jeu se révèle vite difficile, certains passages étant de véritables challenges. Et puis il y a une sacrée variété. Parfois le jeu vire même au shoot’em up lorsque l’on emprunte un moustique qui crache des projectiles et aspire les ennemis.Le jeu peut se jouer en multi (jusqu’à 4) avec l’avantage que quand l’un meurt, il se met en bulle, et peut flotter vers son collègue afin d’être libéré pour repartir de plus belle.
On notera aussi que le jeu est beau. La 2D de profil est transcendée par une 3D dans la profondeur, avec les différents niveaux du décor. Chatoyant et coloré, l’environnement est très agréable à l’œil, sans piquer les yeux. Les personnages sont très bien faits avec des animations vraiment sympas, dan lesquelles on trouve de nombreux détails amusants. De niveau en niveau, les ambiances sont variées et plaisantes. Les monstres sont eux aussi vraiment bons. Du pur bonheur. En parlant réalisation, il faut signaler que les bruitages et la musique sont eux aussi fort bien choisis et efficaces.
Beau, agréable, fun, challenge, un pur bonheur. J’adore!