La série Altered Carbon de Netflix est tirée du roman éponyme (Carbone Modifié en français) que j’ai vraiment beaucoup aimé. Du coup je ne pouvais pas passer à côté. Et je suis très content de l’avoir regardée. Petit rappel si vous ne voulez pas lire mon billet sur le bouquin… On est dans un futur où l’Humanité a essaimé sur pas mal de planètes. La technologie est super développée ; en particulier chacun est doté à la base de son crâne d’une pile stockant toute sa personnalité, ses souvenirs, etc. En cas de décès, on peut remettre les données de la pile sur une autre « enveloppe », un autre corps et c’est reparti pour un tour. Quand on est suffisamment riche, on peut ainsi se cloner et se re-télécharger à l’infini dans de nouveaux corps, s’assurant l’immortalité ; alors pourquoi ce type très riche a-t-il été assassiné (ou s’est-il suicidé)? L’enquête de la police piétine et on va cherche un ancien héros de guerre, super-soldat mais aussi criminel, Takeshi Kovacs, pour démêler ce merdier. Continuer la lecture de Altered Carbon
Archives par mot-clé : tech
Jason Bourne
Quand un studio hollywoodien a une bonne franchise à la recette éprouvée et qui fonctionne, que les sous rentrent dans le portemonnaie, il a un chouilla tendance à tirer dessus jusqu’à user un peu le truc. La franchise Jason Bourne est de celles-là. Sur la base du bouquin de Ludlum datant de 1980, après le téléfilm fort sympathique de 1988, le truc a été relancé avec brio en 2002 (puis 2004 et 2007) avec une trilogie vraiment agréable. En 2012, erreur tactique, on enrichit la saga d’un quatrième opus (Jason Bourne : l’héritage) sans Jason Bourne/Matt Damon. En voulant ouvrir le truc plus largement, en voulant mettre en avant un autre super-agent (interprété par le sympathique Jeremy Renner que l’on retrouve dans Avengers, Hansel et Gretel, Démineurs ou Mission Impossible), les gars se sont perdus en route, nous proposant un foutoir et un bordel ambiant par gérable ; peu compréhensible, capillotracté, le film ne m’avait guère emballé. 2016 a signé le retour de Matt Damon en Jason Bourne pour relancer la franchise, avec toujours Paul Greengrass (réalisateur des opus 2 et 3) derrière la caméra. Continuer la lecture de Jason Bourne
The Big Bang Theory – Saison 10
Et voilà, The Big Bang Theory a atteint la longévité de l’inoubliable Friends. La série qui a mis le geek en avant pour le très grand public a fait ses preuves et restera dans les annales. Le succès est toujours au rendez-vous et elle va continuer pour encore plusieurs saisons.
Je n’ai pas grand chose de plus à dire sur cette saison que sur la 9eme. Il y a toujours quelques bons moments, même s’ils sont plus rares. Il y a toujours quelques bonnes idées, même s’il est de plus en plus difficile de se renouveler. On s’est attachés aux personnages que l’on connaît maintenant par cœur. On sent venir les trucs d’assez loin. Alors je la regarde encore pour le fun, comme ça, à un rythme très peu soutenu. Pendant plusieurs saisons, je me faisais les épisodes direct à leur sortie, mais là je les entasse un peu en attendant à chaque fois d’avoir une soirée tranquille pour en faire plusieurs d’un coup, sans stress, quand j’ai rien d’autre sur le feu. Toujours distrayant, mais sans plus. Je crois qu’ils auraient dû savoir s’arrêter avant de s’enfoncer dans les petites habitudes et le côté blasé.
Ready Player One
Ou juste « Player One » dans sa traduction en français… Ce roman de 2011 est le premier (et pour l’instant unique) d’Ernest Cline (scénariste du film a l’air bien délire Fanboys).
Après ma précédente lecture qui était assez ardue et difficile à s’approprier, celle-ci s’avère extrêmement facile d’accès (et pas seulement parce que je l’ai lu en VF, la VO ne doit pas être fondamentalement complexe). En fait j’ai dévoré le bouquin à grande vitesse. Continuer la lecture de Ready Player One